Autres éléments à venir…
L’ACQ est en faveur de la diminution des dépenses et des taxes (résidentielles et commerciales).
Le maire Labeaume est devenu maître dans le domaine des dépenses farfelues et frivoles et des projets qui se terminent par des lamentables et coûteux échecs, projets d’ailleurs souvent décidés sur des coups de tête. Même l’amphithéâtre est financièrement structuré pour être chroniquement déficitaire. À ce propos, il est bon de souligner qu’il n’y aura pas de retour des Nordiques de si tôt. La Ligue Nationale n’a jamais démontré d’intérêt réel et le thème d’un retour des Nordiques a été entretenu seulement par les manipulations démagogiques et électoralistes de Labeaume.
Sous l’administration Labeaume les dépenses ont considérablement augmenté. La taxation et l’endettement ont augmenté similairement.
La diminution des dépenses va permettre la diminution des taxes.
L’ACQ est en faveur de l’abolition du taxage indirect via les parcomètres sur tout le territoire.
L’ACQ est en faveur de l’abolition de la taxe de Bienvenue.
L’ACQ exige la fin du projet SRB et de son bureau de projet SRB.
Le SRB n’avait rien à voir avec les meilleurs intérêts de la population de Québec et Lévis. Le SRB n’avait rien à voir non plus avec des questions relatives à l’automobile en général. Labeaume n’a jamais appliqué son propre plan de mobilité durable de 2011. Le SRB avait tout à voir avec une commande politique pour le service de grands intérêts immobiliers privés.
Lorsque le SRB est devenu une ancre électorale attachée à son cou, Labeaume a semblé l’abandonner, mais les pseudo-consultations publiques bidons ont démontré une claire intention de Labeaume de revenir avec une version modifiée du SRB après l’élection de novembre. Labeaume l’a lui-même affirmé au conseil municipal.
L’ACQ est contre tout projet de tramway.
En 1948, les gens de Québec se sont débarrassé de la dernière ligne de tramway au soulagement général. En effet, les désavantages des tramways étaient importants. Ils étaient lents et une entrave pour les autres formes de transport comme l’autobus et l’automobile. Un nouveau tramway coûterait une fortune et s’accompagnerait d’un retour des désavantages. Sa mise en place nécessiterait des chambardements immobiliers majeurs. Dans le meilleur des cas, il desservirait une partie très limitée du territoire alors que tous devraient payer pour.
Le tramway à Québec est disparu en même temps que les derniers chevaux. Un quelconque projet de tramway représenterait un retour en arrière vers un mode de transport désuet aux inconvénients nombreux.
L’ACQ est en faveur d’un nouveau lien inter-rives.
La traverse de Lévis a connu ses débuts en 1818. Le Pont de Québec a été ouvert au trafic ferroviaire en 1917 et à l’automobile en 1929. Le Pont Pierre-Laporte a été ouvert en 1970. Des nouveaux liens inter-rives sont simplement dans le développement naturel des choses mais un nouveau lien dans les environs des ponts existants, comme seule nouvelle option, aurait comme résultat d’accentuer un effet d’entonnoir et n’offrirait pas de bénéfices notables au plan du développement économique.
L’ACQ est en faveur d’un nouveau lien en surface via l’Ile d’Orléans.
Au-delà des considérations de circulation routière, les avantages seraient considérables pour le développement économique de la région urbaine de Québec, de l’Ile d’Orléans et de l’est de la Province. Les plans de développement du Port de Québec à Rabaska apportent une forte nouvelle motivation.
Un nouveau lien via l’Ile d’Orléans est un projet considérable qui, dans les meilleurs intérêts des payeurs de taxes tant municipaux, provinciaux que fédéraux, nécessite l’ouverture d’appels d’offres à l’échelle de l’Amérique du Nord.
L’ACQ est en faveur d’un nouveau lien direct entre l’aéroport de Québec et les centres-villes.
L’ACQ préconise pour le RTC l’utilisation de minibus pour mieux servir à moindre coût les secteurs et les plages horaires moins achalandés, une meilleure couverture des parcs industriels, et des crédit de taxes pour les entreprises d’une certaine taille qui encouragent le travail à la maison.
Conseils de quartier :
L’ACQ est en faveur d’une réforme complète du présent système des conseils de quartier.
Les conseils de quartier devraient être le premier échelon de la démocratie municipale. Ce n’est présentement pas le cas. Les conseils de quartier devraient automatiquement couvrir l’ensemble de la Ville de Québec et avoir des pouvoirs de réglementation et non seulement consultatifs. Ce n’est présentement pas le cas. Des questions comme celles des arbres, pelouses et des animaux domestiques incluant les poules en ville devraient être du domaine réglementaire des conseils de quartier. Les quartiers partiellement agroforestier situés en périphérie n’ont pas la même réalité que les quartiers centraux entièrement urbains.
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